5 juin 2009
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15:52
Aux innocents les mains pleines …
Vers l’Orient compliqué je volais avec des idées simples …
(De Gaulle)
Vers l’Orient compliqué je volais avec des idées simples …
(De Gaulle)
Ebahi par la présence d’un noir d’une famille musulmane à la Maison Blanche, le Ouest politique dominé par des vulgates de gauche (ou gauchisantes) attend, la bouche ouverte, de boire les paroles du nouveau sauveur du monde.
A peine a-t-il fini d’assurer au Gouvernement américain le contrôle du deuxième constructeur mondial de voitures en faillite (General Motors dont le nom deviendrait … Government Motors) qu’il se lance dans le monde compliqué des relations internationales et va, comme il ne semblait pas absolument nécessaire, tenir un discours « programmatique » au Caire. Discours par lequel il veut marquer la « rupture » avec la politique traditionnelle des Etats Unis dans cette partie du monde en proposant, en même temps, de tourner la page des relations mauvaises ayant existé entre les Etats Unis et le monde musulman.
Si Barrack Obama restait sur le terrain politique la démarche eut été compréhensible. Ceci aurait commandé de revoir les relations avec le régime obscurantiste saoudien ou de rompre avec des années de tolérance vis-à-vis de régimes autoritaires ou dictatoriaux comme ceux de l’Egypte. Mais ce n’est pas en politique qu’il s’est adressé au monde musulman mais en homme de religion. Ce qui devrait conduire les gauches laïques (la nôtre, la première) à commencer à se poser quelques questions. Y compris parce qu’il a égratigné au passage la France pour son « intolérance » quant aux vêtements portés par les femmes musulmanes !
Commençons, donc, par voir ce qu’un chrétien d’une famille musulmane (apostasie ?) a voulu dire aux plus d’un milliard d’êtres qui, à tort ou à raison, commencent à être considérés partout comme le danger principal pour l’existence de l’humanité. C’est vrai, ce propos est parfaitement « politiquement incorrect» car seule Israël est considéré comme le pays le plus dangereux pour la paix, dépassant significativement, par exemple, l’Iran dans le dernier classement publié.
L’essence de la partie la plus importante de son discours est relative au contenu fondamental de l’islam, contenu parfaitement pacifique mais qui est dévoyé par « des extrémistes ». Islam, religion de paix, majorité des musulmans voulant vivre en paix et s’occuper du développement de leurs familles, en premier lieu de leurs enfants. A l’appui, en homme de religion, moult citation du « Saint Coran ». Serait-ce vrai ? Si l’on regarde l’écume des jours on est obligé de constater que, même si l’antienne « islam religion de paix » était vraie, elle n’a pas de prise sur la réalité. Des extrémistes ?
Le fait est que les extrémistes de l'islam commandent en ce moment la marche de l'histoire .... Le fait est, aussi, qu’aucune voix ne s’exprime dans le monde musulman contre la présence de l’islam, comme religion, dans les 50 guerres ou conflits armés qui agitent le monde et l’empêche de consacrer ses ressources à la construction d’une humanité meilleure C’est des musulmans qui assassinent systématiquement des chrétiens noirs en Afrique et qui sont en train de tirer une chape de plomb sur un continent qui ne survit que par l’aide de la « communauté internationale ». Et quand ils ne trouvent plus des chrétiens (ou des juifs) ils tuent et assassinent … des musulmans. Afghanistan ? Pakistan ? Darfour ? Irak ?
Pas besoin d’être un historien distingué pour savoir que la « nation musulmane » (c’est ainsi qu’il se définissent) a été, de tous temps, une nation (une religion) guerrière. Combattants et conquérants, du sous continent indien jusqu’aux rives de l’Atlantique, leur histoire n’est émaillée que de conquêtes, morts, tueries car (attention, au « politiquement correcte » …) il ne peut pas être autrement pour une religion dont le but ultime est la conquête du monde. Qu’un homme de religion comme l’actuel président des Etats Unis occulte cette dimension essentielle de l’islam, sans laquelle il ne serait qu’une variante du judaïsme (comme le christianisme) ceci ne peut être fortuit. Faire patte de velours pour se faire pardonner, quand on est les Etats Unis, les soi-disant pêchés envers le monde musulman n’a d’intérêt que si l’on veut, en réalité, obtenir autre chose. Mais quoi ?
L’homme de religion devrait savoir que des gens qui éduquent leurs enfants en leur instillant l’amour de la mort, consubstantiel aux préceptes de leur Dieu, ne peuvent pas, en même temps, leur apprendre la vie, la poursuite d’un projet constructif, la tolérance vis-à-vis de l’autre. Car l’autre, il faut le soumettre et régner sur lui, le réduire à la condition de dhimmi ou le passer au le fil de l’épée. Et quand on glisse du religieux vers le politique et on assène comme vérité première que c’est « l’humiliation qui crée l’extrémisme » on transgresse la vérité sur deux plans différents, d’abord en oubliant que si tous les musulmans ne sont pas terroristes, tous les terroristes (actuellement) sont musulmans et, ensuite, que l’humiliation des indiens pendant l’occupation britannique n’a pas conduit à la barbarie d’Al-Qaida ou à Bin Laden ou aux homicides par suicide, dernière contribution de l’islam au bonheur de l’humanité. Peut-être, un jour, les héritiers des Lumières comprendront qu’il faudrait établir un cordon sanitaire autour du monde empoisonné par cette « religion de paix » et les laisser s’entretuer : cela a déjà commencé en Irak, chiites contre sunnites, cela continuera dès que l’Iran chiite disposera de la bombe pour soumettre les frères (ennemis) sunnites.
L’homme de religion, glissant vers le politique, dans son discours, ne mentionne pas que dans aucun pays musulman il n’y a d’élections libres, une justice indépendante ou une presse libre. Que dans ces pays ou règne la corruption érigée en système de gouvernement (voir les princes saoudiens et leurs prébendes sous la forme des secteurs économiques qui leur sont attribués) où il n’y a pas de liberté du culte où on ne peut pas envisager de construire des églises et même pas pratiquer un autre culte que celui musulman, aucun des « droits de l’homme » n’est assuré, cela n’a pas l’air d’émouvoir le nouveau thuriféraire de l’islam pacifique. Islam pacifique « contre lequel les Etats Unis ne seront jamais en guerre ». Sauf que … c’est l’islam qui a déclaré la guerre aux Etats Unis : veut-il faire croire que la présence de troupes américaines en Afghanistan, par exemple, n’est pas un preuve suffisante de la guerre que l’islam a déclenché contre le monde occidental, Etats Unis compris ?
Mais pour montrer son attachement au changement de la nature des relations avec le monde musulman, il sait que le tribut à payer c’est « la solution du conflit israélo-palestinien ». Et le voilà qui fait un numéro d’équilibriste en utilisant une formule qui, pour peu, assimile « les souffrances des palestiniens » à la Shoah. Passons sur l’ignominie qu’exprime une telle formule. En revanche, si c’est en homme de religion qu’il parle il n’avait pas le droit d’occulter la relation unique du peuple juif avec le territoire qui a vu sa naissance. Et si c’est en politique qu’il parle il n’a pas le droit de mettre en question la légitimité d’Israël en affirmant que c’est la Shoah qui justifie la « création » d’Israël. Cela ne fait que permettre au monde musulman et aux pays arabes de maintenir la justification de leur rejet d’Israël car s’agissant d’un fait de nature coloniale préjudiciable aux « possesseurs » de la terre, les palestiniens. Mais, les relations entre Israël et les Etats Unis étant « indestructibles » (tribut payé à la majorité des américains qui n’ont jamais mis en question la nature particulière des relations avec ce pays), il s’arroge le droit de dire au peuple d’Israël ce qu’il doit faire pour qu’il y ait la paix avec les pays arabes. A tous les maux du monde, une panacée : « deux états pour deux peuples ».
Le politique, surtout s’il s’agit d’un homme de religion, sauf s’il s’agit d’un doux rêveur, ne peut ignorer le rejet, total et complet du monde musulman d’Israël. Parce qu’il s’agit d’un « corps étranger » dans le Dar-el-Islam, pour commencer et pour finir. Et quand il rappelle « l’initiative arabe » il oublie de dire qu’elle prévoit aussi, « le retour » de 4,5 millions de « réfugiés » dans un Israël réduit aux frontières dessinées par les lignes d’armistice de la guerre de 1948. Mais souvenons-nous en : au départ, il y avait 700/800.000 réfugiés palestiniens et un nombre presque identique de réfugiés juifs des pays arabes. Israël a absorbé la très grande majorité de juifs mais les pays arabes ont gardé pendant 60 les palestiniens en condition de populations de second ordre et qui, à l’encontre de la définition même de l’ONU, sont toujours considérés comme réfugiés bien qu’il s’agisse de la troisième ou quatrième génération … Mais, passons, puisque le monde entier veut un deuxième état, allons-y ! Un état (palestinien) sera « Judenrein » tandis que l’Etat Juif actuel devrait absorber (l’initiative arabe …) plus de 4 Millions de gens nés ailleurs qu’en Israël. Autant dire que, pour des raisons démographiques, l’Etat Juif deviendra musulman en moins d’une génération … L’homme de religion, fort de la puissance de son pays, veut imposer à Israël de commettre un suicide. Il devrait savoir, car il a cité même le Talmud au Caire, que parmi les 613 commandements de la liturgie juive il y’en a un qui interdit le suicide, même s’il est national …
L’homme de la Maison Blanche rejoint, en réalité, la cohorte des bien pensants qui considèrent qu’Israël n’aurait jamais dû être crée. Dès lors, les choses étant ce qu‘elles sont, il accepte comme une grande partie du monde, de sacrifier les intérêts vitaux d’Israël en laissant à d’autres le soin de lui donner le coup de grâce : à qui veut-on faire croire que l’on n’entend pas, jour après jour, le refus systématique même des « hommes de paix » (Barrack Obama parlant de Mahmoud Abbas) de reconnaître l’existence d’un Etat Juif, Israël. Le coup de grâce ? Ecoutons « l’ambassadeur de l’OLP au Liban » (le 7 mai 2009) :
« L'OLP est le seul représentant légitime du peuple palestinien, et elle n'a pas changé sa Charte même d'un iota. Compte tenu de la faiblesse de la nation arabe et de l'absence de valeurs, et à la lumière du contrôle américain du monde, l'OLP applique sa démarche par phases, sans changer sa stratégie. Laissez-moi vous dire, quand l'idéologie d'Israël s'effondre, et quand nous prendrons le contrôle, au moins, à Jérusalem, Israël s'effondrera dans son intégralité, et nous commencerons à progresser avec la volonté d'Allah, et les chasser de l'ensemble de la Palestine»
A peine a-t-il fini d’assurer au Gouvernement américain le contrôle du deuxième constructeur mondial de voitures en faillite (General Motors dont le nom deviendrait … Government Motors) qu’il se lance dans le monde compliqué des relations internationales et va, comme il ne semblait pas absolument nécessaire, tenir un discours « programmatique » au Caire. Discours par lequel il veut marquer la « rupture » avec la politique traditionnelle des Etats Unis dans cette partie du monde en proposant, en même temps, de tourner la page des relations mauvaises ayant existé entre les Etats Unis et le monde musulman.
Si Barrack Obama restait sur le terrain politique la démarche eut été compréhensible. Ceci aurait commandé de revoir les relations avec le régime obscurantiste saoudien ou de rompre avec des années de tolérance vis-à-vis de régimes autoritaires ou dictatoriaux comme ceux de l’Egypte. Mais ce n’est pas en politique qu’il s’est adressé au monde musulman mais en homme de religion. Ce qui devrait conduire les gauches laïques (la nôtre, la première) à commencer à se poser quelques questions. Y compris parce qu’il a égratigné au passage la France pour son « intolérance » quant aux vêtements portés par les femmes musulmanes !
Commençons, donc, par voir ce qu’un chrétien d’une famille musulmane (apostasie ?) a voulu dire aux plus d’un milliard d’êtres qui, à tort ou à raison, commencent à être considérés partout comme le danger principal pour l’existence de l’humanité. C’est vrai, ce propos est parfaitement « politiquement incorrect» car seule Israël est considéré comme le pays le plus dangereux pour la paix, dépassant significativement, par exemple, l’Iran dans le dernier classement publié.
L’essence de la partie la plus importante de son discours est relative au contenu fondamental de l’islam, contenu parfaitement pacifique mais qui est dévoyé par « des extrémistes ». Islam, religion de paix, majorité des musulmans voulant vivre en paix et s’occuper du développement de leurs familles, en premier lieu de leurs enfants. A l’appui, en homme de religion, moult citation du « Saint Coran ». Serait-ce vrai ? Si l’on regarde l’écume des jours on est obligé de constater que, même si l’antienne « islam religion de paix » était vraie, elle n’a pas de prise sur la réalité. Des extrémistes ?
Le fait est que les extrémistes de l'islam commandent en ce moment la marche de l'histoire .... Le fait est, aussi, qu’aucune voix ne s’exprime dans le monde musulman contre la présence de l’islam, comme religion, dans les 50 guerres ou conflits armés qui agitent le monde et l’empêche de consacrer ses ressources à la construction d’une humanité meilleure C’est des musulmans qui assassinent systématiquement des chrétiens noirs en Afrique et qui sont en train de tirer une chape de plomb sur un continent qui ne survit que par l’aide de la « communauté internationale ». Et quand ils ne trouvent plus des chrétiens (ou des juifs) ils tuent et assassinent … des musulmans. Afghanistan ? Pakistan ? Darfour ? Irak ?
Pas besoin d’être un historien distingué pour savoir que la « nation musulmane » (c’est ainsi qu’il se définissent) a été, de tous temps, une nation (une religion) guerrière. Combattants et conquérants, du sous continent indien jusqu’aux rives de l’Atlantique, leur histoire n’est émaillée que de conquêtes, morts, tueries car (attention, au « politiquement correcte » …) il ne peut pas être autrement pour une religion dont le but ultime est la conquête du monde. Qu’un homme de religion comme l’actuel président des Etats Unis occulte cette dimension essentielle de l’islam, sans laquelle il ne serait qu’une variante du judaïsme (comme le christianisme) ceci ne peut être fortuit. Faire patte de velours pour se faire pardonner, quand on est les Etats Unis, les soi-disant pêchés envers le monde musulman n’a d’intérêt que si l’on veut, en réalité, obtenir autre chose. Mais quoi ?
L’homme de religion devrait savoir que des gens qui éduquent leurs enfants en leur instillant l’amour de la mort, consubstantiel aux préceptes de leur Dieu, ne peuvent pas, en même temps, leur apprendre la vie, la poursuite d’un projet constructif, la tolérance vis-à-vis de l’autre. Car l’autre, il faut le soumettre et régner sur lui, le réduire à la condition de dhimmi ou le passer au le fil de l’épée. Et quand on glisse du religieux vers le politique et on assène comme vérité première que c’est « l’humiliation qui crée l’extrémisme » on transgresse la vérité sur deux plans différents, d’abord en oubliant que si tous les musulmans ne sont pas terroristes, tous les terroristes (actuellement) sont musulmans et, ensuite, que l’humiliation des indiens pendant l’occupation britannique n’a pas conduit à la barbarie d’Al-Qaida ou à Bin Laden ou aux homicides par suicide, dernière contribution de l’islam au bonheur de l’humanité. Peut-être, un jour, les héritiers des Lumières comprendront qu’il faudrait établir un cordon sanitaire autour du monde empoisonné par cette « religion de paix » et les laisser s’entretuer : cela a déjà commencé en Irak, chiites contre sunnites, cela continuera dès que l’Iran chiite disposera de la bombe pour soumettre les frères (ennemis) sunnites.
L’homme de religion, glissant vers le politique, dans son discours, ne mentionne pas que dans aucun pays musulman il n’y a d’élections libres, une justice indépendante ou une presse libre. Que dans ces pays ou règne la corruption érigée en système de gouvernement (voir les princes saoudiens et leurs prébendes sous la forme des secteurs économiques qui leur sont attribués) où il n’y a pas de liberté du culte où on ne peut pas envisager de construire des églises et même pas pratiquer un autre culte que celui musulman, aucun des « droits de l’homme » n’est assuré, cela n’a pas l’air d’émouvoir le nouveau thuriféraire de l’islam pacifique. Islam pacifique « contre lequel les Etats Unis ne seront jamais en guerre ». Sauf que … c’est l’islam qui a déclaré la guerre aux Etats Unis : veut-il faire croire que la présence de troupes américaines en Afghanistan, par exemple, n’est pas un preuve suffisante de la guerre que l’islam a déclenché contre le monde occidental, Etats Unis compris ?
Mais pour montrer son attachement au changement de la nature des relations avec le monde musulman, il sait que le tribut à payer c’est « la solution du conflit israélo-palestinien ». Et le voilà qui fait un numéro d’équilibriste en utilisant une formule qui, pour peu, assimile « les souffrances des palestiniens » à la Shoah. Passons sur l’ignominie qu’exprime une telle formule. En revanche, si c’est en homme de religion qu’il parle il n’avait pas le droit d’occulter la relation unique du peuple juif avec le territoire qui a vu sa naissance. Et si c’est en politique qu’il parle il n’a pas le droit de mettre en question la légitimité d’Israël en affirmant que c’est la Shoah qui justifie la « création » d’Israël. Cela ne fait que permettre au monde musulman et aux pays arabes de maintenir la justification de leur rejet d’Israël car s’agissant d’un fait de nature coloniale préjudiciable aux « possesseurs » de la terre, les palestiniens. Mais, les relations entre Israël et les Etats Unis étant « indestructibles » (tribut payé à la majorité des américains qui n’ont jamais mis en question la nature particulière des relations avec ce pays), il s’arroge le droit de dire au peuple d’Israël ce qu’il doit faire pour qu’il y ait la paix avec les pays arabes. A tous les maux du monde, une panacée : « deux états pour deux peuples ».
Le politique, surtout s’il s’agit d’un homme de religion, sauf s’il s’agit d’un doux rêveur, ne peut ignorer le rejet, total et complet du monde musulman d’Israël. Parce qu’il s’agit d’un « corps étranger » dans le Dar-el-Islam, pour commencer et pour finir. Et quand il rappelle « l’initiative arabe » il oublie de dire qu’elle prévoit aussi, « le retour » de 4,5 millions de « réfugiés » dans un Israël réduit aux frontières dessinées par les lignes d’armistice de la guerre de 1948. Mais souvenons-nous en : au départ, il y avait 700/800.000 réfugiés palestiniens et un nombre presque identique de réfugiés juifs des pays arabes. Israël a absorbé la très grande majorité de juifs mais les pays arabes ont gardé pendant 60 les palestiniens en condition de populations de second ordre et qui, à l’encontre de la définition même de l’ONU, sont toujours considérés comme réfugiés bien qu’il s’agisse de la troisième ou quatrième génération … Mais, passons, puisque le monde entier veut un deuxième état, allons-y ! Un état (palestinien) sera « Judenrein » tandis que l’Etat Juif actuel devrait absorber (l’initiative arabe …) plus de 4 Millions de gens nés ailleurs qu’en Israël. Autant dire que, pour des raisons démographiques, l’Etat Juif deviendra musulman en moins d’une génération … L’homme de religion, fort de la puissance de son pays, veut imposer à Israël de commettre un suicide. Il devrait savoir, car il a cité même le Talmud au Caire, que parmi les 613 commandements de la liturgie juive il y’en a un qui interdit le suicide, même s’il est national …
L’homme de la Maison Blanche rejoint, en réalité, la cohorte des bien pensants qui considèrent qu’Israël n’aurait jamais dû être crée. Dès lors, les choses étant ce qu‘elles sont, il accepte comme une grande partie du monde, de sacrifier les intérêts vitaux d’Israël en laissant à d’autres le soin de lui donner le coup de grâce : à qui veut-on faire croire que l’on n’entend pas, jour après jour, le refus systématique même des « hommes de paix » (Barrack Obama parlant de Mahmoud Abbas) de reconnaître l’existence d’un Etat Juif, Israël. Le coup de grâce ? Ecoutons « l’ambassadeur de l’OLP au Liban » (le 7 mai 2009) :
« L'OLP est le seul représentant légitime du peuple palestinien, et elle n'a pas changé sa Charte même d'un iota. Compte tenu de la faiblesse de la nation arabe et de l'absence de valeurs, et à la lumière du contrôle américain du monde, l'OLP applique sa démarche par phases, sans changer sa stratégie. Laissez-moi vous dire, quand l'idéologie d'Israël s'effondre, et quand nous prendrons le contrôle, au moins, à Jérusalem, Israël s'effondrera dans son intégralité, et nous commencerons à progresser avec la volonté d'Allah, et les chasser de l'ensemble de la Palestine»