Après avoir traité Benjamin Netanyahou (comme on sait) après avoir tiré à boulets rouges sur Israël (les 1.600 appartements et les constructions à Jérusalem, capitale d’Israël, non pas « colonie »), peut-être parce que la coupe était pleine et les contrecoups commençaient à se faire remarquer (perte d’une partie de l’électorat sensible à de bonnes relations USA-Israël), l’Administration Obama a, enfin, apostrophé l’Autorité Palestinienne :
Philippe Crowley, Assistant Secretary Press, Département d’Etat a lu le document écrit qui suit, le 8 avril 2010 :
"Regarding the Middle East, we are DISTURBED by comments of Palestinian Authority officials regarding reconstruction and refurbishing of Jewish sites in the Jewish quarter of Jerusalem's Old City.
"Remarks by the Palestinian ministry of Information denying Jewish heritage in and links to Jerusalem UNDERMINE THE TRUST AND CONFIDENCE needed for substantive and productive Israeli-Palestinian negotiations.
"We also STRONGLY CONDEMN the GLORIFICATION OF TERRORISTS.. Honoring terrorists who have murdered innocent civilians either by official statements or by the dedication of public places HURTS PEACE EFFORTS and MUST END.
"We will continue to hold Palestinian leaders ACCOUNTABLE FOR INCITEMENT."
Ne cherchez nulle part dans la presse américaine, internationale ou française la traduction ou l’évocation de cette déclaration.